Élodie
vendredi 23 février 2024 à 07 h 45
J’ai posé mon regard sur la ville immense et immobile. Elle s’est réveillée peu à peu avec une petite lumière, puis un franc soleil. Puis avec le bruit incessant des trains, ceux qui convoient les travailleurs vers la ville, presque seul et en bas le mouvement des hommes et des femmes s’accélère. Certains courent, d’autres promènent leur chien ou se font promener, d’autres tentent de marcher d’un pas pressé avec leur enfant. Il y a tant à ressentir. Le quotidien, l’ordinaire, perçu d’une façon insolite et fascinante, le mouvement des petits hommes dans l’immensité immobile.
Merci