
Pauline
Dingue les différentes sensations qui traversent l’esprit... et ce corps. La dureté entre le soleil et l’ombre, entre le calme du verger et les fourmillements des passants. Intéressant de s’observer pour voir vers quel élément je me suis tournée...
J’ai aussi été surprise de m’observer en détresse lors de l’enfermement, une sorte de pression que j’ai ressentie, et comment ce cocon est finalement venu m’habiter petit à petit, la chaleur enveloppante, le bois réconfortant, l’agréable sensation de savoir pourquoi on est là et de l’interrogation sur les passants... La sortie m’a fait penser à toutes ces personnes de téléréalité. J’espère pour eux qu’ils avaient également un chouette veilleur comme nous.
Merci pour l’expérience et cette parenthèse enchantée, je pense qu’elle me fera réflexion.