Marceau
mardi 7 janvier 2025 à 08 h 42
L’esprit et le corps encore ankylosés de la nuit se réveillent au rythme de la ville dans le confort de l’objet-abri. Le regard s’habitue vite et détecte les nuances de lumières, les mouvements des feuilles et des oiseaux. Mouvements si souvent dilués dans la hâte quotidienne.
Les sens se réveillent et l’esprit s’accoutume à cette immobilité.
Merci pour cette parenthèse hors du temps.