Jean-Yves
La ville est petite, réellement petite, on la traverse d’un seul regard d’est à ouest pour qui est parisien on atteint immédiatement la périphérie. Ce qui frappe aussi c’est qu’à cette saison, il n’y a pas de végétation hormis quelques tâches vertes de toitures végétalisées. L’idée de veiller, c’est aussi peut être la continuité, on attend quelqu’un qui va prendre le relais et continuer ce regard sur la ville. En marin, on parlerais de quart. Prendre un quart. Le plus paisible mais aussi le plus magique était de 0 à 4 heures.
Claude a justement dit que c’était l’action d’un phare ou d’un gardien de phare. Pourquoi ne pas étendre cette ville à une péniche et un relais...
Pleins de choses
Merci à Claude et aux autres acteurs pour ce partage essentiellement émotionnel.
PS : J’ai pensé au texte de Saint John Perse "Exil IV" "Ce qui..."