Aurélia
« Voir respirer les arbres, à hauteur d’oiseaux. Quel cadre ! Qui prend toute sa mesure quand on s’éloigne de la vitre. Je suis restée pourtant collée quasiment toute la durée de la veille. Absorbée par les nuages, redessinés par la lumière et les couleurs du couchant.
J’ai aimé observer les gens, les chiens, les entrées de champ de ballon de foot. Des contrastes de couleur sur la pelouse monochrome.
Merci pour ce temps flottant, cette cabane familière où je me suis sentie chez moi. Entendre les bruits s’effacer, les sons des humains de moins en moins. Écouter les corneilles prendre leur place…
J’ai envie d’avoir une cabane comme celle-ci à côté de chez moi. Pour y venir ou inviter d’autres à s’y plonger. »
Aurélia